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Et si le PMAD ne changeait (presque) rien ?

11 octobre 2011

[Extraits du sommaire]

Les questions d’aménagement du territoire et de développement urbain étant au cœur de notre mission, Vivre en Ville se sent particulièrement interpellé par l’opportunité offerte de s’exprimer sur l’outil de planification qui marquera les vingt prochaines années de la métropole. Ce Plan doit impérativement être un bon Plan, parce que la région métropolitaine de Montréal ne peut se permettre de se tromper pendant 20 ans. Évidemment, cela place la barre haute ! La question « Et si le PMAD ne changeait (presque) rien ? » est ainsi devenue notre grille d’analyse.

Le PMAD présente trois écueils majeurs qui montrent sa faillite à inverser les tendances et qui font en sorte que la course vers le précipice n’est pas enrayée :

  • Il se contente du statu quo en ne proposant que 40 % de la croissance dans les aires TOD
  • Il lance le signal d’un dézonage du territoire agricole dans l’horizon de 5 ans
  • Il ne fait pas de choix clairs en matière d’infrastructures de transport à prioriser

S’il est exagéré de dire que le PMAD ne changera rien, il n’est pas le virage à 180 degrés qu’il devrait être. Ce n’est certainement pas une avancée suffisante ni un projet emballant pour les 20 prochaines années de la métropole du Québec

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